Ce documentaire international documente et remet en question 70 ans de viols de guerre, d'esclavage et de tortures sexuelles, depuis la Seconde Guerre mondiale au Japon, en Allemagne et en Italie, jusqu'aux zones de conflit plus récentes en ex-Yougoslavie, en République démocratique du Congo et au Rwanda. Les viols de masse utilisés comme arme « collatérale » de la guerre détruisent des générations entières de femmes, d'hommes et d'enfants. Au cours des 30 dernières années, ils sont devenus une arme stratégique de destruction massive, utilisée de plus en plus largement dans chaque nouvelle zone de guerre. C'est l'histoire taboue d'une arme masculine collective et pervertie, associée à un crime contre l'humanité. Dix ans après la création par l'ONU de la Journée internationale contre les violences sexuelles dans les conflits (célébrée chaque année le 19 juin), ce film s'interroge sur les raisons de l'échec de la justice internationale dans la lutte contre l'impunité. Une question qui résonne dans le débat public avec les deux prix Nobel de la paix Denis Mukwege et Nadia Murad.
Ce documentaire international documente et remet en question 70 ans de viols de guerre, d'esclavage et de tortures sexuelles, depuis la Seconde Guerre mondiale au Japon, en Allemagne et en Italie, jusqu'aux zones de conflit plus récentes en ex-Yougoslavie, en République démocratique du Congo et au Rwanda. Les viols de masse utilisés comme arme « collatérale » de la guerre détruisent des générations entières de femmes, d'hommes et d'enfants. Au cours des 30 dernières années, ils sont devenus une arme stratégique de destruction massive, utilisée de plus en plus largement dans chaque nouvelle zone de guerre. C'est l'histoire taboue d'une arme masculine collective et pervertie, associée à un crime contre l'humanité. Dix ans après la création par l'ONU de la Journée internationale contre les violences sexuelles dans les conflits (célébrée chaque année le 19 juin), ce film s'interroge sur les raisons de l'échec de la justice internationale dans la lutte contre l'impunité. Une question qui résonne dans le débat public avec les deux prix Nobel de la paix Denis Mukwege et Nadia Murad.